21/10/11, vendredi - vol de nuit Paris/Addis-Abeba
(6h30, Ethiopian Airlines). Rencontre Marie-Geneviève à l’aéroport
Paris ; intervention efficace de Nomade pour rectifier un enregistrement
de bagages (qui aurait été envoyés directement sur Lalibela).
22/10/11, samedi - Addis-Abeba ; Accueil par Jean
Michel Asfaw, guide parfaitement francophone avec bonne culture
sur ce que l’on va visiter, souriant et efficace. On sera 5, avec
Marie-Geneviève et le couple T.
et V. Hôtel « Edna » avec douche. Musée ethnographique (pas
de photo, trajet photos 1410-1413, il faut ajouter une heure à l’heure
française de l’Exif) : peintures religieuses, artisanat local. Déjeuner
près du musée national (1414-1415) : découverte de l’injera multiples
sortes de viandes, légumes et sauces, le tout pour 6 ou 7€ y compris
eau et café (et c’est une zone à touristes). Après-midi, visite
du Musée National (1416-1436) : préhistoire (Lucy et autres)
; appartement d’Hailé Sélassié (salle de bain en « Porcher
»), artisanat, peintures (photos). Tour en minibus dans l'immense
marché, le Mercato, en faisant des photos depuis la fenêtre du minibus
(difficiles, 1437-1459) Boutique d’ « antiquités » ; Monique
achète un appui-tête (petit marchandage, 300 Bir = 15 € ; T.
marchande pour lui et Marie-Geneviève des masques, longies
discussion, quasi conflit pour finir, tout s’arrange par l‘intervention
de Jean-Michel. Retour hôtel, petite promenade près de l’hôte
23/10/11, dimanche - Lalibela Tôt le matin, réveil
à 4h15, café vers 5h, départ aéroport : il y a déjà des gens qui
marchent dans la rue ; certains même font leur footing. Vol pour
Lalibela (7h30-9h45) avec escale à Bahar Dar (9h) Beaux paysages
de l’avion, mais le hublot, éclairé, donne une très mauvaise photo
. Route pour Lalibela à 2600m. Lalibela, prêtre roi aurait
creusé ses églises (11) en 23 ans, aidé par des anges. Sa femme
ne le voyant pas revenir durant cette période le croyait marié avec
une autre. Le retrouvant à Lalibela, elle se fait creuser sa propre
église Beta Abba Libanos Visite des églises monolithiques, excavées
des falaises de tuf.
. (voir plan des églises ci-dessous) 1° St Sauveur – Beta Medhane Alem 2°
Beta Mariam, avec, sur les côtés, l’église de la croix (Beta
Meskal) et l’église des vierges (Beta Denaghel). Cette après –midi
là on saute les 2 petites Beta Debré et Beta Golgotha. 3° Beta
Ghiorgis. On descend pour y aller et on surplombe l’église. Hôtel.
24/10/11, lundi - Lalibela Le matin(8h) départ
pour , l’église de Yemirhane Kristos, une des plus belles d’Ethiopie,
fondée au XIIe siècle, au pied de la pente de l'Abouna Yossef, un
massif culminant à 4 190 m ; au nord de Lalibela, environ
45 km, moitié bonne piste moitié piste difficile. Très
peuplé, beaucoup de marcheurs à pied. En montant à l’église on
passe par une assemblée de deuil (pas de photos), une centaine
de personnes, des pleureuses… Des pèlerins baisent la croix
des prêtres en les croisant. Pour ces pélerisn, arriver sur les
lieux est le but, certains ne rentrent pas dans l’église.
L’église
est construite à l’intérieur d’une très grande caverne. Un mur la
masque de l’extérieur. Pour Yemirhane Kristos, les anges ont
apporté les pierres et le bois de Syrie (on retrouvera souvent l’histoire
de saints syriens - 9). Il y a des ossements de fidèles qui
ont voulu finir leur vie dans ce lieu saint, remarquable état de
conservation Après-midi, 2° série d’églises de Lalibela (sud).
C’est d’abord une sorte de château fort (Beta Gabriel et Raphaël)
; Une grande église Beta Emmanuel, un passage souterrain assez
long ; et aussi des tranchées ; l’église de la femme de Lalibela
Beta Abba Libanos On complète avec les 2 petites Beta Debré et
Beta Golgotha ; mais, scandale, Beta Golgotha est interdite aux
femmes. Retour à Beta Ghiorgis. Des ouvriers remontent de l’herbe
sur le chemin qui mène à Beta Ghiorgis. On avait pris un minibus
la veille. Le soir les 2 4x4 sont arrivés d’Addis-Abeba pour
la suite
25/10/11, mardi – piste vers Abyi Adi Piste en 4x4
Lalibela (8h) – Sekota (12h-13h30) - Abyi Adi (17h30) dans le Tigré. Dans
l’après-midi on traverse la rivière Tekezé. Journée 4x4, au
début en pays amharique, c’est les moissons, les champs montent
jusqu’aux sommets. Un gamin a eu un oiseau avec sa fronde. Après-midi;
oiseau Calao d’Abyssinie, canyons, on arrive dans le Tigré,
plus sec moins cultivé ; Baobabs, arbuste avec pommes d’Adam sans
utilité agricole. Pension D/Salam à Abyi Adi (alt. 1600m).
Chambre étroite sans fenêtre, porte donnant sur salle d’eau (avec
petite fenêtre) ; chasse d’eau par seau d’eau ; douche froide mais
assez propre ; relents importants dans la nuit. On avait vu une
mosquée à Sokota, il y en a 2 à Abyi Adi. L’appel à la prière est
bref le matin côté musulman, et long côté orthodoxe.
26/10/11, mercredi - Abba Yohanni - Gabriel Wukien - Mariam
Hibeti Pour pouvoir visiter les églises, le guide a une lettre
de recommandation et on attend un prêtre qui nous accompagnera ;
il parle bien le tigréen et servira d’interprète avec les prêtres
locaux. Environ une heure de piste pour Abba Yohanni, une tâche
blanche au milieu de la paroi rocheuse. Au pied on attend (20/30mn)
le prêtre qui a la clé ; on monte un peu par le côté d’une petite
terrasse à l’autre ; puis arrêt pour les femmes, indignation
de V. (soutenue par T.). T., 3 ou 4 prêtres et moi-même
montons un escalier puis prenons un premier tunnel qui mène à une
plateforme qui se poursuit par un passage étroit le long de la falaise
vers l’église ; mais il y a un autre petit tunnel pour éviter le
vertige. Un bas-relief sur 6 apôtres, belles peintures, 3 travées,
9 coupoles creusées dans la roche. Beau Point de vue. Gabriel
Wukien, après piste et petite montée. L’église est à l’intérieur
d’une caverne auvent ; il ya une sorte de couloir tout autour (que
l’appelle péristyle, improprement car il n’y a pas de colonnes).
Belles peintures sur tissu sur la porte. Mais au moment de rentrer,
le prêtre arrête ces dames, qui ne franchiront pas le seuil. L’intérieur
n’est pas très intéressant. Retour déjeuner à l’hôtel, ; la cuisinière
a un four chauffé au bois par-dessus et par dessous ; ce sera de
très bonnes lasagnes. Après-midi, départ vers Mariam Hibéti
; piste très grossière sur 1 ou 2 km, puis à pied (environ 1h ¼)
quasi à plat (sauf petit raidillon final) ; beau paysage, plantes,
culture du tef au milieu de caillous et de plantes genre garrigue
locale. A l’arrivée une demi-douzaine de prêtres, tarif très
élevé (100bir/personne) ; le guide demande un reçu ; palabres ;
finalement un prêtre rédige un reçu sur une feuille de carnet ;
tout se complique au moment de mettre un tampon ; ils exigent un
supplément pour le mettre. On finit par rompre. V. et T.
souhaitent quand même entrer : renégociation, nouvel échec, amertumes
de V. et T. ; finalement retour aux 4x4 sans être entré (mais le
‘petit futé’ indique qu’il n’y a rien d’exceptionnel à voir). Il
est tard, l’ombre commence à mordre sur la vallée ; on attend
T. qui fait un bon 1/4h de séance photos avec 3 moissonneuses. Le
soir un peu de bière locale à base d’orge et houblon fermenté...
il n’y aura pas beaucoup de récidive. Les orthodoxes font maigre
le mercredi et le vendredi, cuisinière et chauffeurs suivent cette
règle. Même pension D/Salam à Abyi Adi
27/10/11, jeudi – AbiAdi – Makele – Wukro – Abraha Atstbeha
- Hawzien Départ à pied : on passe un pont sur une
rivière « odeur de citron » et on arrive devant une école où les
4x4 nous prennent. Longue montée sur des plateaux ; champs dégagés
sans haie, sans village ; village groupé avec arbres, 2 panneaux
USAID… est-ce un nouvel aménagement de l’espace ? Descente faible
sur Makele – 2060m, déjeuner à Makele. Après-midi, vers Wukro
puis Abraha Atstbeha, peinture du 14°. On est sur une sorte de
plateau bordé d’un côté par des sortes d’arêtes. Maisons en
pierre avec enclos. C’est plus touristique : à la sortie de l’église,
je veux prendre une photo de paysage, une fille me demande 1 bir,
je déclenche quand même, et essaie de mieux cadrer, elle se met
devant l’objectif pour empêcher la photo et réclame 1 bir la photo. Hôtel
à Hawzien. Hawzien est le lieu d’un massacre 2000 morts par bombardement
du marché par l’aviation du Derg, il y a une stèle genre axoumite.
28/10/11, vendredi - Myriam Korkor et Debre Tsion Matin
visite de Myriam Korkor, avec à côté une petite chapelle Abona Daniel.
Très beau site en haut d’un mont rocheux, et bel effort
de Monique car ça grimpe sec ( 1h1/4 de montée) et c’est vertigineux
(elle a un aide) Midi à l’hôtel à Hawzien. Après-midi,
Debre Tsion ; encore une grimpette sans passage difficile
mais nécessitant un bon effort. Retour à l’hôtel à Hawzien
|
29/10/11, samedi – marché à Sinkata, Yeha, Axoum Objectif
: partir tôt pour permettre à V de faire des emplettes à Axoum.
Mais le guide a une petite panne de réveil, et V et T n’ont pas
d’eau ; gros remue-ménage pour avoir de l’eau dans une autre chambre.
Enfin on s’avance à pied sur la route vers Sinkata (ou Frewini)
. Les 4x4 nous rejoignent, et l’on tombe sur le marché à Sinkata.
Monique commence un mal de ventre ; plus loin arrêt diarrhée
avant Adigrat . Depuis Adigrat on passe un col à 3100 environ et
redescente. Juste après l’embranchement pour Yeha, déjeuner
sur le pouce ; J.M cherche à chasser les enfants très pressants,
petit incident. Monique n’a plus de diarrhée mais ne mange pas (effet
du smecta et du coca ?) Notes : tous les enfants qui vont à l’école
ont un bidon pour l’eau, il y vont soit le matin, et alors le petit
déjeuner est offert, soit l’après-midi avec déjeuner offert. On
a aperçu, çà et là, un chameau, mais c’est rare. Dans quelques
bourgs il y a une mosquée (à Sinkata, pas à Hawzien) Visite de
Yeha, ancien temple du Vème siècle avant JC ; remarquable appareillage
; il aurait pu être construit par des Egyptiens. Passage près
du site de la bataille d’Adoua 1896, victoire sur les italiens
((grâce en partie aux fusils de Rimbaud). Arrivée Axoum vers
16h ; pb d’hôtel, on se rabat sur un hôtel bruyant sans eau
chaude. Monique a de la fièvre, est-ce suite insolation ou infection
intestinale ?
30/10/11, dimanche – Axoum. - Les deux tombes
des rois Khaleb et Gebré Msqual, père et fils ; ils se convertissent
avec les 9 saints Syriens au 5° ou 6° siecle. Le premier roi se
fait construire sa tombe royale, mais se retire comme moine en passant
le pouvoir à son fils, qui lui aussi fait de même, donc deux tombes
vides … mais royales avec bel appareillage. - La pierre
Ezana, écrite en 3 langues grec, sabéen et guèze. - La
«baignoire de la reine de Saba ; en fait réservoir très ancien. -
Les stèles et un tombeau où l’on a trouvé de l’orfèvrerie.
Visite du musée sans photos, mais j’obtiens le droit de photographier
l’affiche sur les herbes et pierres qui servent à faire les couleurs
de l’église ;" il suffit" de la traduire en texte et de
remettre en page en html (2317, 2318). Après-midi : musée de
Ste Marie de Zion près des ruines de la première église. Nombreuses
couronnes, argent / pierres / or ; vêtements de cérémonie cousus
d’or, objets religieux, etc. … Visite de 2° Eglise Ste Marie
de Zion, entrée interdite aux femmes, construite avec architecte
portugais en 1665, mais de plan très rustique, et brute (gros piliers
carrés sans presque de chapiteau, voute en plein ceintre) un vierge
noir. A la sortie ouest de la ville, le « palais de la reine
de Saba » Dungur , datant en fait du 6° ou 7° siècle après JC. Route
vers Shire (Inda Selassié), ville martyr car défaite % aux italiens
à la fin du 19°, et lieu de massacre sous le Derg ; cette ville
contrôlerait l’accès à la rivière Tekezé. Notes : Les chameaux
servent aux transports de toute sorte et peuvent porter 70 Kg ;
ils sont parfois loués, par exemple pour le marché. Mariage :
photos à l’occidental dans le parc aux stèles – mais musiciens de
style local, puis entrée du marié pour la réception. Monique
m’offre un petit livre de prière en accordéon.
31/10/11, lundi - Shire – Debark Camp de réfugiés
Erythréens Café dans un village Passage du Tekezé ;
grande descente et grande montée Pique-nique au bord d’un affluent
du Tekezé. 1° partie du trajet = route en chantier 2° partie
= piste difficile ayant été bien utilisée. On s’arrête pour acheter
du bois avant d’entamer la dernière (grande) montée, car on en aura
besoin pour le camping. Vers 15h, dernier morceau de montée vers
Debark, arrêt car un remorqueur tire avec un câble un camion renversé
à flanc de montagne entre 2 lacets ; le camion est tombé il y a
une semaine, mais on assiste à une partie de l’opération de dégagement
(3/4 h) ; le camion sera finalement retourné et ramené à Debark
dans la soirée. Le Simien était couvert, et, qq km avant
Debark, la pluie arrive. On devait aller 20 km plus loin à Sankaber
pour camper. JM (le guide) nous propose de dormir à l’hôtel à Debark
moyennant finances (340 bir = 15 € pour 2). Discussion avec T et
V, petite crise. Décision hôtel ce soir et tente demain à Sankaber.
JM va chercher les billet pour le parc du Simien.
1/11/11, mardi - Massif du Simien - Sankaber- Chenek On
part tôt avec un aide cuisinier pour monter les tentes et un « scout
» = militaire qui nous accompagne avec sa Kalachnikov. Montée
à Sankaber (3200m) où on laisse les chauffeurs et l’aide cuisiniers
débarquer le bois, les cantines, les tentes etc…. ; et on part randonner
à pied avec le scout et JM vers 8h30 ; piste, puis bien vite
sentier le long des a pics. Vers 10h descente vers un petit promontoire
qui permet de bien voir une cascade ; mais la brume monte dès la
première photo. On est près de la piste qui va de Sankaber à
Chenneck, et les 4X4 nous amènent à Chenneck (3600m) pour le déjeuner.
Vers 1h on peut voir les bouquetins qui sont tout proches, on aperçois
aussi un « loup d’Abyssinie » (sorte de chacal ou renard). Longue
séance d’observation. Une grande bande de singes s’égaie sur la
pente juste en face… 2h-3h retour à Sankaber en 4x4, les tentes… Pour
notre tente, le toit touche le double toitt,il manque des sardines,
elle est mal montée, et il y a des petits tous d’épingle dans les
toiles… pourvu qu’il ne pleuve pas. Pluie de 22h30 à 1h30 du
matin environ, mais pas de marre d’eau, le dessous des matelas est
mouillé en plusieurs endroits sans plus ; et réveil aux chants d’oiseaux
sans pluie ni brouillard.
2/11/11, mercredi - Debark- Gondar Départ de Sankaber
à pied par la piste qui va sur Debark et reprendre les 4x4; beaucoup
de nuages dans les vallées. A Debark, marché aux bêtes et marché
ordinaire. Début de piste pour Gondar, on s’arrête pour manger
sur le pouce,. Puis pluie forte et brouillard. Dans un
des mille et un « détours » sur la route en construction, dans un
village, la rue est une patinoire, avec nombreux chassés. Traversée
d’un village de Falachas en arrivant sur Gondar. A Gondar, en
fin d’après-midi, on prend un Bajaj avec MG pour remonter de l’hôtel
au centre-ville ; 1h de promenade autour de l’ensemble impérial,
et retour, le Bajaj est à l’heure (il ne s’est fait payer qu’au
retour) ; hôtel sympa (près des bains) avec jardin ;
3/11/11, jeudi - Gondar + trajet pour Bahar Dar Visite
des palais de l’ensemble impérial, - La bibliothèque de Fasilidas. -
Le palmais de Yoannes 1 son fils, relié au château et « restauré
» (le seul avec crépi). - Le grand château de Fasilidas (17°
sciècle). Il a la carrure et le tour crénelé d’un château fort,
sans en être un (cf. grandes fenêtres) ; dans une salle,« signature
» des architectes portugais et indiens ; l’eau de pluie est récupérée
dans une citerne avec poissons pour détecter un éventuel poison.
- Palais de Yasu (fils de Yoannes) ; s fiancée est enlevée,
il part à sa recherche et ne revient jamais, - Palais de musique
de David III son frère musicien, avec niches pour les partitions
tout autour de la grande pièce. - Nouveau sauna construit par
un médecin français envoyé de Louis XIV. - Palais du 3ème frère,
cavalier, avec étables.- - Palais de la régente («Mentuab »)
d’abord appréciée puis haïe. Sans compter tous les bâtiments
annexes … Visite de la célèbre ’église de Debré Birhan Sélassié
: le plafond aux centaines d’anges. Belle toiture de chaume. On
voit encore les fondations de l’ancienne église circulaire. Un
peu excentrés, les bains, grand bassin de plus de 100 m de long
; ils sont utilisés pour Timkat. Route vers Bahar Dar (14h-17h30) Aperçu
d’un autre château de Gouzara, à 60 km de Gondar. Construit par
l’empereur Sersa-Denguel (1563-1597), il fut habité par ses successeurs
jusqu’à Susinyos (1607) donc avant celui de Fasilidas à Gondar. Passage
près de champs de cat ; on en mâche 2 (petites) feuilles, pas amer
mais non suffisant pour faire effet. Grands champs de riz en
arrivant près du lac Tana. Arrivée hôtel (Homeland) discussion
pourboire chauffeurs et cuisinière, dernière photos avant leur retour
en 4x4 sur Addis-Abeba. Avec MG retour vers centre-ville ; très
vite il commence à pleuvoir ; bière à la terrasse d’un petit bar
; retour hôtel en Bajaj.
4/11/11, vendredi - Lac Tana - Addis Abeba – avion. En
bateau sur le lac Tana pour voir deux églises sur la presqu’ile
de Zegé ; Beta Mariam et son petit musée ; histoire du saint
qui a fondé l’église : il a cassé son bâton de prière en 3 morceaux
qu’il a planté, donnant le café, le citronnier et le houblon. Awaze
Mariam. Vol Bahar Dar – Addis-Abeba, au soleil couchant ; du
hublot on voit le relief puis les constructions proche de la capitale
avec, pour finir, de beaux cubes colorés, des HLM. Soirée spectacle
en attendant le départ aéroport (décollage vers minuit heure
locale).. Nuit dans l’avion et atterrissage à 5h30 (7h30 heure
de départ).
|